Belle camerounaise allongée

Camerounaise d’un soir

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La rédaction allait fermer et je n’avais toujours pas fini mon article. Je faisais signe au type de la sécurité que je travaillais encore. Il s’approcha un peu et m’interrogea « vous restez jusqu’à quelle heure ? ». Je lui dis « 22h30, grand maximum ». « Ça me va, je repasserai pour fermer. » puis il disparut avalé par l’ascenseur.

Mon article avançait à toute allure mais pour le timing, j’avais vraiment vu trop large. « 21h » aurait largement suffit.

Au bout d’un bon moment, la mécanique s’était remise en marche dans la cage. Je remarquai que le bruit se rapprochait de mon étage, puis s’arrêta. Les portes métalliques s’ouvrirent, et en me levant un peu de ma chaise, je vis une silhouette féminine se dessiner dans les lumières de la cabine. Un bras cherchait l’interrupteur dans le noir. La lumière vînt.

Je reconnaissais Fanta, la nouvelle stagiaire camerounaise. « Elle a du talent cette petite » pensais-je. « Elle ira loin dans le journalisme ». La jeune femme avançait avec calme sur la moquette jusqu’à l’ouverture de mon cubical. « Simon ? Tu bosses encore à cette heure-ci ? ». « Plus pour longtemps, ma belle, il me reste qu’à relire et à balancer à Martin».

Elle avait l’allure féline et son visage magnifique était éclairé d’un regard mystérieux et perçant. Je rêvais d’elle depuis notre première rencontre, trois semaines auparavant. « Fanta, ma belle africaine, tu me fais fantasmer » me murmurais-je mentalement.

« C’est sur quoi ton article ? » « Le sexe et les français » lui répondis-je. « Hum ! Tu as du l’écrire vite alors !» répliqua-t-elle souriante d’un petit ton moqueur. Piqué au vif, je n’allais pas laisser passer un truc pareil. « Dis donc ! Tu veux que je te prouve que les français sont des amants plus que convenables ‘ ».

Elle se redressa doucement, mis les mains sur ses hanches et posa le bout de son mocassin sur le rebord de ma chaise. Elle me regardait fixement, sans dire un mot. Comme je ne réagissais pas, elle amena lentement son pied jusqu’à mon entrejambes. Le contact m’électrisa. Puis avec sa chaussure, elle exerça une douce pression sur mes testicules. Je me contenais comme je pouvais.

« Alors de quoi es-tu capable mon beau petit français ? » demanda-t-elle d’un ton de défi et plein d’appétit.

« Tu me donnes carte blanche ? » lui demandai-je suavement.

Elle passa furtivement sa langue fine et rose sur le bord de sa bouche et se mordit doucement la lèvre du bas.

Je me levai. Je m’approchai lentement d’elle, tout près. Je passai mes mains sur le haut de ses hanches puis l’attirai à moi. Elle vînt se lover dans mes bras et entama une lente danse ondulée.

Mon érection fut soudaine, incontrôlable. Nous mélangeâmes nos bouches avec passion.

Elle commença à déboutonner mon pantalon. J’en fis de même. Elle mordillait tout ce que je lui laissais atteindre, elle respirait à vive allure, la bouche serrée, son corps se frottait le long du mien et je la sentais coller son ventre avec excitation sur ma verge tendue.

D’un pied je repoussais nos pantalons tombés au sol et nos sous-vêtements connurent rapidement le même sort. J’amenais mes mains sur ses fesses et en les saisissant fermement je portais Fanta sur mon bureau. Dès qu’elle fut assise, elle me plaqua à elle avec force et guida d’un geste précis ma verge vers son sexe. Fanta, me voilà. J’entrais dans son corps comme on entre dans un lieu sacré.

Je remontais mon bassin vers le haut pour la soulever un peu plus à chaque fois que je la pénétrais. Je voulais qu’elle me sente loin en elle. J’allais doucement mais avec fermeté. Son sexe m’accueillait avec toujours plus de plaisir et je le sentais s’ouvrir d’avantage à chaque passage.

Sa liqueur d’amour ruisselait le long de mes jambes jusqu’aux genoux. J’accélérais. Elle me murmurait amoureusement des choses dans une langue qui m’était inconnue. J’étais dans un état second, nos corps entraient en fusion. Je la savais toute proche du but, merveilleux.

Toutes mes petites affaires tombèrent du bureau lorsqu’elle fit de la place pour s’allonger.

Elle posa deux doigts sur le haut de sa vulve et commença à se masturber. Le spectacle incroyable de cette fille noire, cambrée comme un arc, qui recevait mes assauts et glapissait de délice, restera à jamais gravé dans ma mémoire.

Elle était prête pour s’envoler. D’un coup, elle saisit mon bras et me dit d’un souffle, « je vais jouir ». « Vas-y ! » lui répondis-je. L’instant d’après, elle criait son orgasme longuement et sans retenue en remplissant la pièce d’un écho sourd et profond.

Mon tour vint sans attendre. Je déversais en elle ma jouissance, bruyamment, puissamment. En un éclair, je l’accompagnais dans le plaisir. Nos corps jouissaient à l’unisson.

C’était moi maintenant qui dansais, doucement, en caressant ses jambes qui me tenaient.

Repus, nous nous allongeâmes à même le sol. Elle avait la tête sur mon buste. Nous étions redevenus calmes. Soudain, le bruit de l’ascenseur, qui se mettait à descendre dans la cage, nous fit sursauter. « Vite ! Il faut qu’on se rhabille fissa, le gars de la sécurité va venir fermer ! », lui dis-je, nerveux. Éclats de rire !

Nous croisâmes le vigile en contenant avec difficulté des pouffements de rire. En descendant, nous nous regardions dans le miroir de l’ascenseur. Elle remit un peu d’ordre dans ses cheveux.

Le gars nous avait accompagnés dans la cabine. Il me demanda « vous avez réussi à finir à temps ? ». Fanta se mit à rire. Il avait tout compris !

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Auteur

Amoureuse de littérature érotique et croqueuse d’hommes invétérée, Angélique vous offre ses talents d’écriture et ses récits toujours emprunts de sensualité.