Une bouche très pulpeuse

Sa vulve dans ma bouche pour la première fois

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Depuis quelques jours, je partage mon appartement avec Judith, une fille très sympa arrivée récemment dans la capitale. Il me fallait une colocataire pour faire face, elle avait un bon job, tout se présentait pour le mieux. Elle rentrait tard ce soir-là. Elle passa le seuil de la porte et ne me voyant pas, cria dans l’entrée « Salut Marie, je suis rentrée ».

Nous avions convenu de nous prévenir mutuellement au cas où l’une de nous serait nue ou en position délicate. »

« Coucou Judith ! », lui répondis-je, du salon. Elle ôta son poncho et fila dans la cuisine. « J’ai la dalle » dit-elle en ouvrant le frigo. « Viens ! J’ai acheté un p’tit truc à manger» lui lançais-je. Je baissai un peu le son de la télé et sortis les mignardises de leur écrin. »

Elle me rejoint et me remercia de cette petite attention. Je lui servis un peu de Chardonnay et lui tendis le verre. « Quelque chose à la TV ce soir ? » « Non rien comme d’habitude ». Je zappais rapidement d’une chaîne à l’autre. Soudainement elle demanda « oh tu peux revenir, c’était quoi l’émission là ? ».

J’appuyai deux fois sur le bouton afin de satisfaire sa curiosité. L’émission parlait sexualité. Des témoins étalaient sans tabou les récits de leurs aventures sexuelles. Et je dois avouer, qu’au bout d’un moment, certains détails crus m’ont beaucoup excité. D’ailleurs, j’essayais de me tortiller discrètement sur le tissu épais du sofa. Je sentais mon sexe se tremper irrésistiblement à l’écoute de ces témoignages sans détour.

Je n’avais pas vu que Judith me regardait. Elle n’avait rien loupé.

« Ça t’excite pas cette émission, toi ? » me lança-t-elle amusée et taquine. Je lui répondais maladroitement « heu si, si un peu, enfin un peu oui ». « Moi, c’est la folie là, tu veux voir ? ».

« Pourquoi pas », lui répondis-je en réprimant un tremblement soudain.

Mes yeux étaient grands ouverts. Mon cerveau se mit à rouler à cent à l’heure. Je m’emparai de la télécommande et je fis taire définitivement le son de la télé.

Des frissons frais me parcouraient le dos jusqu’à la nuque. Cette fille, que je connaissais à peine, me proposait un plan cul : « je dois rêver » pensai-je. Son regard, habituellement bleu et clair, était soudainement devenu profond et malicieux. J’étais tétanisée. Non, je ne rêvais pas.

L’instinct de Judith prit rapidement les reines. Elle s’approcha de moi. Ce parfum léger qui la précédait toujours me rendait folle. Elle se mit à genoux sur le divan plaçant son bassin non loin de mon visage. Elle portait un jeans serré qui suivait au plus près sa ligne mince et élancée. Elle prit ma main dans la sienne, la fit doucement pivoter et la porta à son sexe.

Un petit souffle sortit de sa bouche lorsqu’elle pressa mes doigts fermement sur son intimité. Elle se cambra. Je touchais pour la première fois le sexe d’une femme, autre que le mien.

Elle me libéra d’un geste doux puis se leva. Elle dénoua ses longs cheveux châtains et secoua mollement la tête de droite à gauche sans me lâcher du regard. Elle déboutonna lentement sa chemise puis la fit glisser en arrière dévoilant sa petite poitrine aux poires fermes et harmonieuses. Puis, tout en se tortillant avec élégance, elle ôta son jeans. Elle me laissa profiter, un bref instant, du spectacle de son corps, presque nu.

Mon sexe brûlait et j’étais en totale surexcitation. Judith mit fin à ma délicieuse impatience lorsqu’elle se laissa presque tomber sur moi. Elle saisit à pleine bouche la mienne. Nos langues dansèrent et mes mains tremblantes cherchaient des prises. Je réussis à saisir chacune de ses fesses et je tirais sur l’élastique de sa culotte. Elle ne portait plus rien.

Sans cirer gare, elle se mit debout, m’offrant en gros plan, sa vulve ouverte et brillante. Elle ruisselait. Elle posa ses genoux sur le haut du divan, amena les mains au bas de son ventre et ouvrit lentement la bouche de sa vulve. « Tu veux me goûter ? » demanda-t-elle d’un ton espiègle, sans me quitter du regard.

Cette question fit exploser une excitation folle.

J’ouvris la bouche et tendis ma langue en direction de son sexe. Elle m’attendait. Elle écarta complètement la vulve juste avant que je n’y pose la bouche. Elle soupira, relâchant l’air, bruyamment. Elle passa la main derrière ma tête et m’attira à elle, sans que je ne lutte.

J’étais parcourue de milles frissons. J’avais fermé les yeux. Je passais ma bouche tout le long de sa fente, puis, le terrain reconnu, je posai ma langue inexpérimentée sur sa pulpe brûlante. Elle tremblait, elle vibrait, elle était sur le point de jouir, je le savais, tellement l’excitation la tenait. Elle se mit à jouer du bassin sur mon visage. Son plaisir s’accentuait. J’étais son petit jouet et j’adorais ça.

Sa liqueur coulait dans ma bouche toujours plus abondamment, signe qu’elle ne tarderait pas à venir.

Comme un voltigeur devenu fou, ma langue goûtait, léchait, pressait son clitoris avec passion et dévouement. Ma petite abeille était prête à s’envoler.

L’orgasme s’empara violemment d’elle. Son cri long et aigu traversa la pièce tel un avion à réaction. Les spasmes la faisaient rebondir sur mon visage, me trempant de sa mouille, des cheveux au menton. La tête en arrière, elle gémissait doucement, emportée par les vagues de plaisir.

Puis elle fit silence.

Ma belle amazone se retira doucement. Nous étions face à face.

« C’était fabuleux » me dit-elle, épanouie. Je ne répondis rien. Je profitais de la voir heureuse.

Peu après, elle s’exclama « Oh ma pauvre, je t’ai recouvert tout le visage». Sans attendre et avec beaucoup de douceur, elle prit mon menton, gentiment, puis commença à lécher ma figure comme une louve ses petits.

Ma récompense reçue, je la pris dans mes bras, et la câlinais, toute la nuit !

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Auteur

Amoureuse de littérature érotique et croqueuse d’hommes invétérée, Angélique vous offre ses talents d’écriture et ses récits toujours emprunts de sensualité.

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