Une jolie fille qui se fait observer par un voyeur

Les bienfaits du voyeurisme

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Lorsque j’étais tombé sur des offres pour un séjour en Grande Canaries à prix vraiment cassés, je n’avais pas réfléchi longtemps et sorti ma carte bancaire. Pendant les semaines qui avaient suivi, je marchais comme un dandy dans les rues, comme si les gens pouvaient deviner ce qui faisait ma fierté. Et puis le grand jour était arrivé, je décollais pour le Sud. Je me voyais déjà en train de déguster mes sangrias, ma paella et danser au milieu de magnifiques brunes, lorsque je ne serai pas en train de me baigner paresseusement dans la mer bien chaude.

D’habitude, lorsque j’allais en vacances à la mer, je prenais toujours un hôtel classique et avais parfois eu quelques déconvenues. Cette fois-ci, mesdames et messieurs, j’étais logé en bungalow. J’avais mon bungalow à moi. Le complexe où j’étais était énorme, surtout le bâtiment principal où se trouvaient la réception, la salle à manger, etc. Il y avait beaucoup de monde et je fus inquiet quelques secondes. La vue de mon joli bungalow me rassura, de même que celle de la mer juste à côté. Nous avions carrément tous un espace d’herbe relativement important où nous pouvions bronzer sur une chaise longue. Néanmoins, je comptais plutôt faire ça à la mer et allais me baigner immédiatement.

A priori, il y avait plus de grosses mémés allemandes dans mon complexe que de jeunes Espagnoles. Pas grave, je trouverais ces dernières plus tard. Ce qui m’embêtait un peu, c’est que j’aurais volontiers pratiqué un peu mon castillan à l’hôtel plutôt que la langue de Goethe que je maîtrisais plus que mal. Je me rendis compte dès le soir qu’avec le grand nombre de touristes germaniques, le cuisinier de l’hôtel s’était adapté en nous proposant choucroute et saucisses bien grasses. Mais où était ma paella ? Entendre quelques touristes Italiens et francophones grogner également ne suffit pas à me remonter le moral. Je rentrai un peu dépité à mon bungalow mais un épisode particulier allait largement me consoler.

Alors que je pensais me poser paresseusement devant la télévision, j’entendis un gémissement avant d’ouvrir ma porte. Ça venait du bungalow d’à côté, à n’en point douter. Malheureusement, une haie au feuillage touffu m’empêchait de voir. Je la longeai un court instant, le temps de trouver un trou me permettant de mater ce qui se passait chez les voisins, ou plus précisément la voisine. C’était une jeune blonde qui était allongée sur sa chaise longue. Il ne me semblait pas l’avoir vue à la plage, sinon je m’en serais souvenu, car même si j’avais de la peine à distinguer son visage ‘ avec la nuit qui tombait ‘ elle avait de magnifiques jambes et une poitrine qui semblait à la fois ferme et de belle taille.

Le temps que mes yeux s’habituent à l’obscurité naissante, je vis qu’elle glissait sa main droite sous sa courte jupe de couleur noire, tandis que de la gauche elle serrait fortement un sein juste couvert par un chemisier blanc. Ce spectacle avait quelque chose d’irréel, j’étais surpris qu’une demoiselle comme ça n’ait pas quelqu’un à disposition pour calmer sa libido. Cela me permettait toutefois d’avoir droit à un joli spectacle. Je me postai de la façon la plus confortable pour voir la suite. Vous l’aurez compris, la jeune femme se caressait depuis déjà un petit moment, d’où les gémissements que j’avais entendus.

Elle se tenait les cuisses légèrement écartées et glissait quelques doigts par le haut de sa culotte. Je distinguais de mieux en mieux les mouvements de sa main, et lorsque ceux-ci se faisaient trop répétitifs, je jetais un ‘il à la forme de ses mamelles malmenées. Le plus excitant restait son visage à présent visible. On voyait sur celui-ci tout le plaisir qu’elle prenait en caressant son corps et en fourrant son vagin de ses propres doigts. Je devinais en effet aux mouvements que je percevais qu’elle ne se contentait pas de jouer avec son clitoris mais qu’elle ramonait bien profondément son orifice. Ses yeux restaient fermés en permanence, ce qui valait mieux pour moi, et ses gémissements couvraient le bruit que je faisais, malgré toute ma prudence, en baissant mon pantalon et en saisissant mon sexe. Je ne pouvais rester de marbre devant un tel spectacle et une bonne branlette me paraissait être le minimum syndical.

La respiration de ma blonde peut-être germanique était toujours plus rapide, et ça se voyait même sur son petit nez. Quant à sa bouche fine, elle était entrouverte et ne cessait de relâcher des petits bruits. J’avais à présent ma bite complètement à l’air et bien dure. Je m’imaginais en train de la placer devant les lèvres de celle que j’espionnais. Évidemment, dans mes visions de branleur, elle saisissait mon gland sans mot dire et le gobait avec délicatesse, avant d’avancer ses lèvres et sa langue sur mon phallus ravi. La main qui caressait sa poitrine généreuse avant que je ne m’avance faisait à présent un geste similaire à mes testicules gonflés à bloc. Devant un tel traitement, je n’allais pas tarder à les vider.

Et c’est la même chose qui allait arriver car je me branlais comme un fou. J’essayais de le faire en m’adaptant au rythme également rapide que faisait mon Allemande en se masturbant. Après avoir enfilé sa main bien profondément dans sa petite culotte, sans avoir à ôter sa si jolie jupe courte, il me semblait qu’elle avait à présent remonté et le voyeur que j’étais déduit que c’est sur son clito qu’elle s’excitait désormais. Les cris étaient de moins en moins étouffés. J’essayais pour ma part de me retenir mais je m’étais mis à respirer bruyamment. Comment pouvait-il en être autrement en se branlant devant un tel spectacle ‘

Soudain, ma Teutonne poussa un petit cri moins étouffé que tout ce qui était sorti de sa bouche jusqu’ici et je me tus immédiatement. Heureusement, c’est à ce moment que mon foutre choisit de jaillir et je le laissai choir paresseusement sur la pelouse, tout en me mordant les lèvres. J’avais soudain une grosse envie de me mettre à la choucroute.

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Amoureuse de littérature érotique et croqueuse d’hommes invétérée, Angélique vous offre ses talents d’écriture et ses récits toujours emprunts de sensualité.