Une femme grosse et bien en chair

Du sexe avec une femme grosse

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Est-ce que j’aurais picolé autant si j’avais su ce qui allait se passer durant cette soirée ? J’avais été invité chez un mec que je ne connaissais pas depuis longtemps mais que j’avais rencontré à l’université. C’était l’été, il faisait beau et chaud, j’avais l’occasion de participer à un barbecue, je ne m’étais pas posé beaucoup de questions. Surprise, une fois arrivé, il y avait quelques visages connus, des amis communs. Rapidement, je me mis à suer à cause de la température qu’il faisait dans cet appartement.

Ce n’était pas mieux sur le balcon car le soleil tapait fort et on avait commencé à y griller la viande. En attendant d’avoir de quoi manger, il ne me restait plus qu’à discuter et surtout à boire. Notre hôte avait sorti quelques boissons sans alcool mais pour le reste, je voyais surtout des bouteilles de vin, des bières et de l’alcool fort. Je me mis donc à boire en fin d’après-midi et sans avoir mangé. Les ravages allaient être anthologiques pour moi.

Je me fis très vite coller par une fille que je ne trouvais guère attirante. Toutefois, je n’allais pas à ces soirées étudiantes pour draguer car c’était souvent là que les nanas trop intello à mon goût me pompaient l’air. Celle-ci n’était pas spécialement snob mais guère attirante. Pour être plus correct, nous dirons qu’elle n’était pas à mon goût. Je décidai de ne pas la repousser trop sèchement pour une raison toute simple : Je m’étais rendu compte qu’il n’y avait presque que des poilus dans cette soirée et la plus jolie nana était en couple avec un type qui faisait deux fois ma taille. J’allais donc passer un peu le temps avec mon pot de colle en attendant que les saucisses soient bien rôties.

Laurence était une espèce de grosse métisse asiatique qui fumait comme un pompier devant moi. Je détestais ça mais faisais bonne figure tout en évitant de me prendre de la fumée dans le nez. Je me rendis compte par la suite qu’elle était également portée sur l’alcool mais ça, c’était au moins un vice que nous partagions ! Comme elle avait malgré tout l’air d’être sympathique et d’avoir des choses à dire, je contemplais son visage trop rond et son gras du bide pour évaluer si elle était quand même baisable mais la réponse était clairement non. De toute façon, je n’aimais pas les filles qui sentaient la fumée. Nous allions donc rester bon amis.

La soirée se déroula dans la bonne humeur mais j’eus de la peine à me nourrir car un attroupement permanent s’était formé à la porte-fenêtre menant au balcon et donc aux saucisses. Je privilégiai ainsi le liquide au solide, ce qui ne tarda pas à avoir des effets pervers. Au bout d’un moment, la petite troupe que nous formions décida de faire une virée au bar du coin. Certains étaient déjà bien déchirés et moi j’étais plutôt en mode joyeux.

Malgré cela, nous continuâmes à boire comme des trous et je dansai avec Laurence sur des musiques entraînantes. Après tout, danser comme ça n’engageait à rien. Les autres commencèrent à bad trip tandis que la pluie se mettait à tomber violemment. Notre hôte piqua un sprint jusqu’à son appartement. Laurence et moi tentèrent de le suivre péniblement et les autres rejoignirent leurs domiciles.

Quand nous trouvâmes enfin la porte de son allée malgré la pluie violente, il mit dix minutes à nous ouvrir car il était bien soûl et avait été se coucher. Il nous accueillit avec une tête de zombie et retourna dans sa chambre. Je m’allongeai dans le canapé, bien décidé à dormir moi aussi, et avant ça j’ôtai la plupart des mes vêtements qui étaient trempés. Laurence fit de même et s’allongea contre moi. J’étais toujours conscient qu’elle était grosse mais avec tout l’alcool que j’avais dans le sang, j’étais soudain moins difficile. Je n’imaginais toutefois pas encore que j’allais la sauter à plusieurs reprises durant la nuit.

Elle se mit à me caresser avec un faux détachement auquel je réagis d’une façon non contrôlée. Je lui dis des âneries comme quoi ce ne serait pas gratuit de squatter « mon » canapé alors que mon cerveau pensait plutôt qu’elle devait dégager car j’aurais de la peine à assumer par la suite si je me tapais une fille avec tous ces kilos en trop. Elle se leva soudain et revint se poser contre moi après avoir pris quelque chose dans son sac, quelque chose qu’elle posa sur la table du salon. Horreur, il s’agissait de préservatifs !

Elle avait donc bel et bien l’intention d’aller au bout de la plaisanterie. Je ne sais pas pour vous mais quand j’ai trop bu, je ne suis pas spécialement vigoureux. La boisson me rend encore plus porté sur la chose que d’ordinaire mais elle n’aide pas du tout au niveau des performances. Je me dis donc que ma mollesse phallique allait la décourager. Pas du tout ! Sans même me demander mon avis, la morte de faim pris mon sexe en main et se mit à me sucer de façon mécanique mais rapide et décidée.

Dans ces conditions, il n’était plus possible de résister, vous en conviendrez ! Je me souviens donc que j’ai fini par avoir une trique acceptable et me décidai à enfiler une des capotes. Il faut dire que j’avais les couilles bien pleines et qu’au fond, ça n’allait pas me faire de mal de les vider un peu, même si avec mon orgueil de mâle, j’allais prétendre que c’était avant tout pour lui faire plaisir que je faisais ça. Je commençai par la prendre de façon classique et lorsque je me mis à fatiguer, elle prit les choses en main et me chevaucher.

J’essayais de me concentrer sur mes quelques sensations, histoire d’éviter sa bouche qui sentait la nicotine et de devoir admirer sa graisse qui allait et venait au-dessus de moi. Elle fatigua à son tour (rappelons qu’elle avait bien bu, elle aussi), et je voulus la prendre par derrière car, curieusement, elle paraissait moins grosse du cul que du ventre. Mais la salope se remit sur le dos et je dus me contenter d’un missionnaire. Lorsque je baise avec des filles plus jolies, minces et souples, je peux faire des acrobaties avec leurs jambes mais là, je n’y songeai même pas.

Je mis tellement de temps à éjaculer que Laurence fut convaincue que j’étais un super étalon, d’autant plus que je la menai à la jouissance. Par la suite, je racontai l’histoire à quelques potes en précisant bien que j’étais complètement soûl au moment des faits, ce qui ne les empêcha pas de se moquer de moi.

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Amoureuse de littérature érotique et croqueuse d’hommes invétérée, Angélique vous offre ses talents d’écriture et ses récits toujours emprunts de sensualité.