Le secret d'une femme fontaine

Faire l’amour à une femme fontaine

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Même si l’on n’est pas un grand fan de la vie nocturne, il y a des endroits en Espagne où l’on ne peut pas passer à côté. C’est ce que je m’étais dit en passant quelques temps à Salamanque, petite ville universitaire réputée où les discothèques et bars remplis de jeunes gens sont légions. L’après-midi, j’avais aperçu une jeune femme qui me plaisait bien, alors que j’étais assis à une terrasse de la Plaza Mayor. Elle détonnait un peu avec sa longue chevelure blonde, au milieu de demoiselles à la chevelure foncée. Et comme elle s’en allait, je m’étais dit qu’il ne valait pas la peine de se lever. J’allais avoir l’occasion de rencontrer plein d’autres jolies filles dans cet endroit.

En plein centre-ville, je fus attiré le soir même par un endroit qui semblait particulièrement animé. C’était un grand bar de deux étages à la décoration soignée et qui faisait également office de disco puisqu’il y avait un grand espace au rez sur lequel tout le monde se déhanchait. Entrée gratuite, pas besoin d’être bien habillé, ça me convenait bien, surtout que les consommations étaient moins chères qu’en France. Il ne me restait plus qu’à picoler un peu et trouver mon bonheur.

Une beauté blonde attira mon regard. Vous aurez deviné de qui il s’agissait. J’étais fortiche moi qui adore les belles brunes et les latines, de me laisser ensorceler par une blonde ici. Elle était rubia certes, mais elle avait le visage bronzé et n’avait pas la tête d’une fille du Nord. Soit je l’espionnais tel un grand timide pour l’écouter discuter, soit j’allais directement lui poser la question. C’est cette deuxième option qui me parut la plus séduisante. Je me présentai à elle en lui offrant un verre et en m’excusant pour mon mauvais espagnol. Elle me répondit qu’elle était Italienne, de Bologne. Ça faisait un mystère en moins, je pouvais dormir tranquille, bien que mon intention n’était pas de dormir. Je me mis à danser à ses côtés et comme l’endroit était bruyant, nous sortîmes au bout d’un moment pour discuter un peu. Une fois les présentations faites, elle me dit qu’elle ne voulait pas retourner dans l’établissement car c’était trop bruyant pour elle.

Elle parlait remarquablement bien la langue de Cervantès. Je me dis que c’était sûrement plus facile à apprendre pour une italophone que pour un francophone mais au fond, je n’en étais pas vraiment convaincu. Comme son logement était dans la même direction que le mien, j’avais une excellente excuse pour la raccompagner, tout en continuant à discuter. Une fois devant chez elle, je réussis à me faire inviter à boire un verre de façon détournée. Elle n’était pas contre le principe mais elle était étudiante et avait deux copines colocataires. Je me tus et pris un air déçu. Elle me dit alors : « Tu habites où toi ‘ » Après le français et l’espagnol, j’eus une brève pensée en français: « Yes! ».

Après quelques verres et un peu de blabla, Chiara était complètement à moi. Et oui, tel était son prénom, et ça lui allait très bien. Son visage bronzé, son air malicieux et sa longue chevelure blonde, je les connaissais bien, à présent, et il me fallait découvrir le reste. Elle se laissa facilement embrasser et je m’allongeai contre elle, sur mon canapé, tout en lui ôtant le haut. Les seins étaient de taille modeste mais mignons et fort délicats au toucher, et c’est ce qui m’importait le plus. Évidemment, les gros seins sont parfait pour une bonne branlette espagnole, mais vu que j’étais avec une Italienne, je n’y pensais pas plus que ça et appréciais ce qu’elle avait à me proposer. Comme elle n’avait pas pensé à revêtir de la lingerie particulièrement fine, j’eus vite fait de la lui ôter, débarrassé de tout scrupule.

Après l’avoir quelque peu incitée à me lécher les couilles et à me sucer un peu le sexe je décidai de voir immédiatement ce qu’elle avait dans le ventre en la pénétrant presque à sec, toujours dans mon canapé. Pour tout vous dire, j’étais aussi inquiet pour mes propres performances, car j’avais quand même pas mal bu avant d’arriver dans cette position, et les résultats au lit peuvent varier en ce qui me concerne. Ainsi, je n’avais pas la trique la plus ferme de ma vie, mais je me rendis compte que mon endurance était heureusement au rendez-vous. Je pus donc secouer Chiara un bon moment et ne me gênai pas pour la défoncer en levrette, vu le magnifique petit cul qu’elle avait. Néanmoins, comme elle semblait fatiguer, je la retournai à nouveau et entrepris de finir dans un classique missionnaire.

Alors qu’au début, elle ne me parlait qu’en espagnol, elle passa à l’italien tandis que son plaisir allait en augmentant. Elle se mit à parler de plus en plus vite et de plus en plus fort, tout en fermant les yeux. Elle était au bord de l’angoisse et je n’allais pas tarder à lâcher ma sauce. Je finis par éjaculer dans ma capote, toujours plongé dans sa chatte, mais comme elle était à deux doigts de manifester sa jouissance, je fis un effort pour continuer à la ramoner encore un moment. Elle prit un air sérieux et m’expliquant quelque chose en italien. Je ne compris rien mais lui fis : « Si ! si ! » Elle me prit alors le cul contre elle, je lui donnai les coups finaux et elle hurla en me repoussant. Du liquide en quantité s’échappa de son entrejambe. Chiara était une femme fontaine.

C’est cela qu’elle m’avait expliqué. Elle regarda un peu piteusement ce qu’elle avait fait à mon lit mais je lui fis un grand sourire pour lui signifier qu’il n’y avait pas de problème. Après tout, ce n’était pas de sa faute et j’avais pris mon pied. Et puis, fan de statistiques, j’étais ravi d’avoir une femme fontaine à mon palmarès. Par contre, il avait été complètement inutile de sa part de me prévenir en italien, mais qu’importe ! L’émotion qui la submergeait ainsi que l’alcool avaient dû lui faire oublier son sens de la logique. Plus tard dans la nuit, nous nous remîmes à faire l’amour et je lui fis tout ce que je connaissais, par derrière. Elle n’eut plus besoin de m’avertir en italien qu’elle était une femme fontaine.

D’ailleurs, j’ai déjà oublié comment ça se dit…

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Amoureuse de littérature érotique et croqueuse d’hommes invétérée, Angélique vous offre ses talents d’écriture et ses récits toujours emprunts de sensualité.